Près de 70 anciens journaliers de la Monusco dont les contrats ont été supprimés l’année dernière réclament des indemnités de fin de contrat.
Depuis quatre jours, ils passent la nuit avec leurs familles devant le siège de la Monusco à Goma pour tenter de faire entendre leurs voix.
En réponse à leurs revendications, le directeur d’appui à la mission, Guy Siri, a souligné que la fin de tout contrat de travail aux Nations unies, que ce soit pour les agents ou les journaliers, ne donne pas droit aux indemnités.
Vous pouvez l’écouter dans cet extrait sonore :