Santé communautaire : les facteurs qui freinent le développement de la médecine traditionnelle en RDC

Dans la capitale Kinshasa et un peu partout ailleurs, sur des avenues, des ronds-points et dans les étalages des marchés, des produits issus de la pharmacopée sont vendus au quotidien. Les vendeurs à la criée proposent également chaque jour les produits de la phytothérapie dans les débits de boisson, arrêts de bus et autres endroits publics. Au moins 80 % de la population africaine recours à la médecine traditionnelle, selon l’OMS. Cette médecine doit, en principe trouver sa place parmi les composantes stratégiques de santé communautaire. Cela nécessite un travail de collaboration entre la médecine classique et traditionnelle. C’est qui est loin d’être le cas en RDC où les deux spécialités ont du mal à travailler ensemble. - Quels sont les facteurs qui freinent le développement de la médecine traditionnelle en RDC ?  

Marcel Ngombo discute de ce thème avec Kapala Miché et Me Ilunga Mwanza, respectivement président du Conseil National de la Médecine Traditionnelle (CNTP) et avocat au barreau de Kinshasa/Gombe. Dr Nyembwe Fabrice, médecin au Centre de Santé Nyeka et le phytothérapeute Kazadi Abraham ont aussi participé à cette émission.

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