Impact de l'accord d'Addis-Abeba, 11 ans après sa signature

L'Accord pour la paix, la sécurité et la coopération pour la RDC et la région des Grands lacs, dit « Accord-cadre d’Addis-Abeba », a totalisé onze ce mardi 24 février.

Ce document avait été signé le 24 février 2013 en vue de mettre fin à l’un des conflits le plus meurtrier et à résoudre les causes profondes de la violence et des guerres à répétition dans l’Est de la République démocratique du Congo. 

En RDC, il a été mis en place un mécanisme de suivi en vue de la supervision de cet accord d'Addis-Abeba. Cependant, au regard de la guerre qui sévit toujours dans la partie orientale de la RDC, une large majorité des Congolais s’interrogent sur la mise en application de cet accord et la mise en œuvre des engagements pris par les parties signataires.

Onze ans après sa signature, que retenir de son impact dans la résolution des conflits dans la partie Est de la RDC ?

Invités :

- Lando Mafuta, directeur de cabinet au sein du mécanisme national de suivi de l’accord cadre d’Addis-Abeba

-Patient Bashonga Matabishi, coordonnateur National de la Dynamique Communautaire pour la Cohésion Sociale et le Développement, DYCOD-RDC. Une plateforme Citoyenne qui se spécialise sur les questions de paix, sécurité et cohésion sociale. Il est aussi Coordinateur honoraire du Cadre de Concertation National de la Société Civile de la Rdc.

-Augustin Muhesi, professeur des sciences politiques à l’Université de Goma (UNIGOM) et chercheur à Research Connect -DRC, un centre spécialisé dans la collecte, analyse et plaidoyer pour la valorisation des résultats des recherches.

 

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