RDC : polémique autour de l'accord

Le ministre congolais en charge de la communication, Lambert Mende et l'abbé Donatien Nshole, porte-parole de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO), ne sont pas d'accord sur le caractère inclusif ou non de ce texte.

Selon M. Mende, beaucoup reste à faire, puisque toutes les parties prenantes au dialogue n'ont pas signé le document.

"Ce qui a été reproché à ce dernier accord c'est un déficit d'inclusivité du fait de l'absence d'une partie de la classe politique. Force est de constater et le gouvernement regrette que ce grief fondamental fait à l'accord du 18 octobre n'a pas été rencontré au Centre interdiocésain, dans la mesure où une frange importante de l'opposition ainsi qu'une partie importante de l'opposition politique n'ont pas apposé leur signature dans le texte final", a-t-il précisé.

L'abbé Donatien Nshole, Secrétaire général de la CENCO, estime pour sa part que le dialogue est inclusif, même si le Front pour le respect de la Constitution ne l'a pas signé.