Douze personnes ont été enlevées en moins d’une semaine dans le territoire de Shabunda, au Sud kivu. Outre les citoyens ordinaires, les ravisseurs s’en prennent désormais aux personnalités publiques et aux membres de l’administration.
Les autorités politico administratives de Shabunda accusent les éléments de la rébellion des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda, FDLR, et les ex- Maï Maï de commettre ces forfaits.
Le gouvernement provincial a demandé aux Congolais appartenant à ces groupes armés de rejoindre les rangs des FARDC.
FM: Kinshasa 103.5 :: Bunia 104.9 :: Bukavu 95.3 :: Goma 95.5 :: Kindu 103.0 :: Kisangani 94.8 :: Lubumbashi 95.8 :: Matadi 102.0 :: Mbandaka 103.0 :: Mbuji-mayi 93.8
Articles de la catégorie « Shabunda »
19/04/2010 - 11:36
Un commandant de police, quatre de ses hommes et un civil ont été enlevés samedi dernier dans le groupement d’Ikama Kasanza en territoire de Shabunda, selon le chef de groupement.
Le commandant de la police à Shabunda centre précise que les personnes enlevées détenaient la prime de quatre mois et des nouvelles tenues destinée aux policiers.
D’après la même source, les assaillants seraient des militaires incontrôlés.
Une délégation sera envoyée dans la région pour négocier la libération des otages, a également indiqué le commandant police à Shabunda.
12/04/2010 - 17:18
Cent vingt trois femmes, membres de la plate forme des associations des femmes de Shabunda, et vingt deux hommes, leaders locaux, ont participé à un atelier de formation de trois jours clôturés dimanche à Shabunda, au Sud Kivu. Thème de la formation: “Progrès pour tous, parité Homme et femme dans un Congo du cinquantenaire. La formation avait pour but de sensibiliser les femmes et les hommes de Shabunda sur leur implication dans le développement de ce territoire.
18/03/2010 - 14:29
Quatre femmes sont accusées à Shabunda de détenir un poison dénommé “Karuho”. Un produit qui tuerait à petit feu.
Elles sont détenues à la police nationale locale, à plus de 300 kilomètres à l’ouest de Bukavu.
Selon une ONG des droits de l’homme, ces femmes dont l’une a vendu la mèche, ont avoué détenir ce poison qu’elles auraient acheté auprès d’une femme retournée à Bukavu.