Le Fonds des Nations unies pour la science et l’éducation, la science et la culture (UNESCO) organise depuis jeudi 9 novembre un atelier de formation, à l’intention des journalistes des radios communautaires de la RDC. Pendant deux jours, les professionnels des médias vont notamment apprendre des notions sur l’environnement, le développement durable et les conséquences de déséquilibre terrestre. A la clôture de ces travaux, ils se sont engagés à introduire dans leurs grilles de programmes, reportage et autres émissions spécialisées, les informations en rapport la protection de l’environnement, le développement durable et les conséquences du déséquilibre terrestre.
Pour Eustache Namunanika, consultant à l’UNESCO, il est question de donner aux medias communautaires et de proximité des notions et informations nécessaires sur le climat, le gaz à effet de serre et les changements climatiques.
Les problèmes liés aux changements climatiques et à la protection de l’environnement constituent une préoccupation majeure qui interpelle l’humanité tout entière, avec la répercussion sur la vie présente et future des citoyens, a de son côté renchéri, le chef du secteur éducation de l’UNESCO-RDC, Fatouma Marega.
Cette formation organisée par l’UNESCO bénéficie de l’appui de l’agence Suédoise de développement international.
La chargée d’affaires a.i de l’ambassade de Suède à Kinshasa, Carin Wall, a quant à elle encouragé les participants à profiter de cet atelier pour faire des réflexions et des échanges sur les causes et les conséquences, de même que les solutions en rapport avec l’environnement pour un développement durable.
Carin Wall a aussi rappelé le rôle capital que doivent jouer les médias dans ce processus : orienter le choix des citoyens, surtout des jeunes, dans la promotion de la protection de l’environnement et le développement durable au sein des différentes sociétés.
Au nom des participants, Solange Chiloze de la radiotélévision Deo Gracias de Kasumbalesa a réaffirmé l’engagement des médias communautaires de capitaliser les connaissances reçues à travers cet atelier pour l’intérêt des Congolais.
