Problématique de la campagne électorale apaisée

Une semaine après le lancement de la campagne électorale, des actes d’intolérance ont déjà été enregistrés dans certaines villes. A Lubumbashi certains candidats à la députation se plaignent du fait que des inciviques déchirent leurs affiches.  À Kisangani, le siège de du candidat du FCC a été vandalisé mardi par un groupe des jeunes causant des blessés graves et autres dégâts matériels importants. Et à Mbuji -Mayi, L’UDPS et la jeunesse qui soutient le gouverneur de province se sont affrontés mardi. Ils s’accusent mutuellement d’actes de vandalisme.

Quelle analyse faire de cette situation ?

Que faut-il pour une campagne électorale apaisée ?

Invités

-Me Guillaume Manjolo, Secrétaire Général du parti politique Union des Libéraux Démocrates Chrétiens.  Rapporteur adjoint de la plateforme ABCE. Il est aussi porte-parole du candidat du Front commun pour le Congo. 

-Me Sonvil Mukendi, porte-parole des plateformes Ensemble et Lamuka- Grand Katanga. 

-Emmanuel Kabongo, Professeur de journalisme à l’Université pédagogique nationale (UPN). Il est aussi journaliste de profession et Docteur en philosophie politique africaine. 

 

Ecrivez-nous à [email protected] ou laissez-nous votre commentaire ici

N’oubliez pas de joindre à tous vos messages un numéro de téléphone (+ le préfixe du pays où vous résidez) pour que nous puissions vous rappeler en cas de besoin.

Appelez-nous au numéro (+243) 818906488

Envoyez-nous un SMS au (+243) 817788166

/sites/default/files/2018-11/29112018-a-f-dec-00_site.mp3