Le but de la création des aires protégées est celui de maintenir intacte la biodiversité. Il faut cependant savoir que tous ces parcs constituent aussi les milieux de vie des communautés locales dont la subsistance, la culture et l’identité sont intimément liées à ces écosystèmes. Dans les aires protégées de la RDC, les populations autochtones sont fréquemment la cible d'intimidations, de torture, de violences physiques et sexuelles qui seraient commis parfois par des éco-gardes. Pour réduire sensiblement des cas violations des droits de l’homme enregistrés à proximité du Parc national de la Salonga, l’ONG Juriste pour l’Environnement au Congo (JUREC) a lancé, en collaboration avec ses partenaires, le projet Bengo dans le but de faire le monitoring des doléances relatives au non-respect des notions des droits de l’homme aux alentours du Parc national de la Salonga.
- Quels sont les mécanismes mis en place pour mettre fin à ces pratiques, qui ne riment pas avec la conservation de la nature et le développement durable ?
- Qu’est ce qui peut être fait pour gérer les conflits entre les éco-gardes et les populations vivants à proximité des aires protées de la RDC ?
Des plus amples détails dans ce numéro d’Echo du développement que vous présente Taty DILENGENDJU Mapuku.