Les personnels de santé publique ont levé, vendredi 19 janvier, l’option de renforcer la sensibilisation et la surveillance pour prévenir la maladie de Monkey Pox, en RDC.
Ils ont décidé ainsi lors d’un atelier, organisé à l’Hotel Memling, à Kinshasa.
« Il nous faudra renforcer la surveillance, les méthodes de détection aux laboratoires, la sensibilisation et les échanges avec les organes de presse pour que vous puissiez aussi donner la bonne information. Nous avons l’impression que nous ne communiquons pas assez sur le Monkey Pox. Or, on doit le faire : alerter et sensibiliser parce que la prévention est la meilleure réponse qu’on puisse apporter à un évènement complexe de santé », a fait savoir la coordonnatrice du comité de coordination une santé, Nadège Ngombe.
Ces professionnels de la santé ont également pris l’engagement de mettre l’accent sur le renforcement de laboratoire, de la prise en charge et du contrôle de l'infection et l'actualisation de la cartographie des partenaires intervenants dans la riposte contre le Monkey Pox.
Cet atelier a été organisé par la Coordination pour la couverture santé universelle “One Health”avec la collaboration du Programme national de lutte contre le Monkey Pox.
Ces deux partenaires ont bénéficié de l’appui financier et technique de l'USAID/MTAPS.
Le premier cas humain de MOnkey Pox avait été identifié en 1970, à Basankusu, dans la province de l'Equateur.