Contribution de la RDC dans le processus REDD+ à l’échelle mondiale

La RDC vise, à l’horizon 2030, stabiliser et maintenir un couvert forestier sur 63,5 % du territoire national, avec une réduction des émissions liées à la déforestation et à la dégradation forestière de 56 % par rapport au niveau de référence, tout en améliorant le niveau de vie de la population, affirme, la professeure Marie Nyange Ndambo, ministre de l’Environnement, du Développement Durable et de la Nouvelle Économie du Climat. Déclaration faite hier au cours de la 80ème Assemblée Générale des Nations unies, à New-York.

Ecoutons un extrait de son plaidoyer au micro de Taty Mapuku.

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Si nous voulons avoir les effets du processus REDD+ au niveau mondial, nous pensons que la RDC pourrait beaucoup contribuer. Notre plaidoyer va dans le sens de dire les ressources sont là. Comment faire pour que les communautés qui préservent ses ressources peuvent continuer à améliorer leurs conditions de vie. Et puis en même temps, nous sommes à l’heure où il y a l’économie du climat. Comment faire pour rétablir une justice sur ce marché de sorte que ça rapporte des ressources pour les pays qui doivent se reconstruire mais en même temps que les communautés locales qui sont des gardiens de ses ressources puissent tirer le maximum pour améliorer leurs conditions de vie.