RDC : le Bceco a engagé 500 millions USD pour ses programmes prioritaires en 2013

Des billets de dollars américains (photo archives).

Le Bureau centrale de coordination (Bceco) a engagé un budget global de cinq cent millions de dollars américains pour ses programmes prioritaires en 2013. Le directeur général de cette structure, Théophile Matondo l’a déclaré jeudi 17 avril lors de la publication du rapport annuel de cette organisation.

Sur mille écoles visées, le Bceco en réhabilite quatre cent quatre-vingt seize et soixante-cinq écoles ont été totalement réhabilitées, a affirmé le DG de cette structure.

Trois hôpitaux de référence ont été réhabilités dont ceux de l’hôpital de Gemena, celui de Wangata dans la province de l’Equateur ainsi que celui de Dipumba dans le Kasaï-Oriental, a expliqué Théophile Matondo.

D’autres travaux de construction sont en cours, notamment :

  • · l’asphaltage de la voirie de Kindu
  • · les travaux de construction d’un stade omnisport dans la même ville dans la province du Maniema
  • · la construction de l’hôtel du gouvernement
  • · le projet de construction et de réhabilitation des infrastructures scolaires
  • · la réhabilitation des installations sanitaires dans différentes provinces.

Théophile Matondo a aussi relevé la réfection des bâtiments des établissements de l’enseignement supérieur et universitaire, dont les universités de Kinshasa, Lubumbashi et Kisangani, et la construction de l’université de Kindu encore en cours.

Dans le cadre du rajeunissement de l’administration publique, le directeur général du Bceco a indiqué que sa structure a recruté cinq cents jeunes universitaires. Ceux-ci sont déjà à la disposition de la fonction publique, a-t-il ajouté.

De plus, ce bureau a initié et réalisé trente-huit missions d’audit de réforme et de gouvernance au sein de l’administration publique.

Le budget de cinq cent millions de dollars américains est constitué essentiellement du financement du gouvernement et des bailleurs des fonds dont la Banque arabe pour le développement en Afrique et la Banque mondiale.

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