Al Kitenge, Analyste, stratège et président de la fédération nationale de Karate Do.
Professeur Kambayi Bwatshia, Professeur à l’Université pédagogique nationale et spécialiste en histoire des mentalités.
Il n’est pas bon de se promener avec un sac, des bijoux ou de l’argent sur soi dans certaines rues de Kinshasa. Des bandes de jeunes gens armés de machette ou d’armes à feu s’organisent pour dépouiller les passants.
Ces bandes des délinquants communément, appelés «Kuluna», attaquent et terrorise quotidiennement les passants. En cas de résistance, ces gangs n’hésitent pas à tuer leurs victimes.
Rien que pour le week-end du 6 au 8 mai, plus de dix cas de cambriolage, deux vols à main armée et deux meurtres ont été enregistrés à travers la capitale congolaise, selon des sources policières.
Le matin du dimanche 8 mai, un jeune homme a été retrouvé mort dans la commune de Bandalungwa, abattu par des inconnus.
Dans la nuit de vendredi 5 à samedi 6 mai, un autre jeune a été tué lors d’une bagarre rangée entre un gang de Ngaba et celui de Lemba.
- Qu’est qui explique cette situation et comment y remédier ?
Invités:
- Al Kitenge, Analyste, stratège et président de la fédération nationale de Karate Do
- Kambay Bwatsha, Professeur à l’Université pédagogique nationale et spécialiste en histoire des mentalités.
- Jean-Paul Yawidi, Doyen de la faculté de psychologie et science de l’éducation de l’Université pédagogique nationale (Upn).
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