Le président de la Banque mondiale, Robert Zoellick a annoncé, jeudi 9 février, que son institution ne va pas contribuer au budget général de la RDC par manque de contre-pouvoir dans ce pays, indique une dépêche de l’AFP.
Au cours d’une conférence de presse à Pittsburgh (Etats-Unis), il a estimé que « les contrôles démocratiques lui semblent insuffisants en République Démocratique du Congo, raison pour laquelle, il faut stopper d’alimenter son budget ».
Il a par ailleurs précisé que les programmes sur la nutrition, l’éducation, le Sida et le paludisme continueraient à être soutenus. Robert Zoellick a qualifié la RDC de « zone grise » à l’image de l’Afghanistan et d’Haïti.
- Comment analyser la déclaration du président de la Banque Mondiale ?
- Quel pourrait être son impact sur la situation socio-économique de la RDC ?
Invités:
- Martin Fayulu, Député élu de Lukunga à Kinshasa. Il est président du parti politique Engagement pour la citoyenneté et le développement (Ecidé).
- Professeur Kabengele, Professeur à l’Université de Kinshasa, spécialiste en économie internationale. Il est cadre du Pprd.
- Bienvenu-Marie Bakumanya, Directeur du desk économie au groupe de presse le Potentiel.
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