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Au Katanga, on enregistre de plus en plus de conflits fonciers à Lubumbashi et dans le reste de la province. Dans la plupart des cas, les propriétaires des terrains accusent les agents de service de cadastre et affaires foncières de vendre des terrains déjà occupés. L’un des cas les plus récents est celui du village BASE KARAVIA 2 où les habitants dénoncent la vente de leur village par le cadastre. Pour sa part, le service de cadastre précise que la concession a réellement été lotie et rappelle que la terre appartient à l’Etat. Jody Nkashama fait le point avec Grégoire Mulamba, secrétaire exécutif du Centre des Droits de l’homme et du Droit humanitaire.
