Pour Mateso Kakulibo, ces prisonniers d’Uvira courent des risques liés notamment à l’utilisation commune des lames de rasoir, des objets tranchants et ont des rapports sexuels non protégés.
«Il ne faudrait pas que les prisonniers quittent le lieu de détention avec une maladie. Ces pairs éducateurs seront amenés à sensibiliser leurs semblables sous la supervision du directeur et de l’infirmier de la prison», a expliqué le secrétaire exécutif du PNMLS à Uvira.