La crise au Nord-Kivu et la situation des droits de l’homme en RDC ont été les deux sujets forts de la visite de François Hollande, le 13 octobre à Kinshasa, à l’occasion du XIVe sommet de la Francophonie. Dans une ambiance plutôt fraiche entre le président français et son homologue congolais, Joseph Kabila.
Hollande avait déjà donné son point de vue, le 9 octobre à Paris, en estimant que « la situation (en RDC) est tout à fait inacceptable, sur le plan des droits, de la démocratie et de la reconnaissance de l’opposition ». Il a répété son message en exprimant devant Joseph Kabila la « préoccupation de la France face à l’état précaire des libertés » dans le pays, selon un proche de l’Élysée. Dans la perspective des élections locales de l’année prochaine, la France souhaite ainsi que la réforme de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) ait aboutie afin que l’opposition y obtienne la place qu’elle réclame. Lire la suite sur jeuneafrique.com