Les partis politiques, regroupements politiques et candidats de la majorité présidentielle ont adopté, lundi 25 juillet 2011, le code de bonne conduite.
Celui-ci va réguler le comportement des acteurs politiques pendant la période électorale. Il renferme des droits et obligations de ces derniers. Mais aussi des dispositions conservatoires et sanctions à l’endroit des contrevenants.
L’adoption de ce code est intervenue en l’absence de partis politiques de l’opposition. Dans leurs revendications, l’opposition politique congolaise exige son implication dans la gestion du serveur central de la CENI et l’audit du fichier électoral.
Pour Jacquemin Shabani, secrétaire général de l’UDPS, ces préalables présentés par les partis et groupements politiques de l’opposition constituent, d’après eux, des instruments majeurs de la confiance que l’opposition peut placer en la CENI. Les partis de l’opposition ont aussi réaffirmé leur volonté de participer à des élections transparentes, démocratiques et apaisées.
- Comment analyser cette situation ?
Invités:
- Henry Thomas Lokondo, sénateur de la majorité présidentielle.
- Arsène Mwaka, professeur des sciences politiques et coordonnateur du Centre d’étude politiques de l’Université de Kinshasa, janvier 2011.
- Me Serge Mayamba, Secrétaire de l’Udps et chef du département des relations avec les forces politiques et sociales
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