Beaucoup de crimes et violations des droits de l’homme commis en RD Congo avant la mise en place de la cour pénale internationale sont restés impunis, selon les ONGS de défense et de la promotion des droits de l’homme opérationnelles au Katanga.
Pourtant certains auteurs de ces crimes sont connus. Ce qui provoque un sentiment de frustration chez les victimes. Face à cette situation, les activistes de droit de l’homme de la province du Katanga se sont résolus de mettre sur pied des mécanismes de justice transitionnelle pour rétablir certaines victimes dans leurs droits.
Le point sur l’installation de ce projet dans cet entretien que Freddy Kitoko, activiste des droits de l’homme a eu avec Jody Nkashama.
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