Normal
0
false
false
false
EN-US
X-NONE
X-NONE
/* Style Definitions */
table.MsoNormalTable
{mso-style-name:”Table Normal”;
mso-tstyle-rowband-size:0;
mso-tstyle-colband-size:0;
mso-style-noshow:yes;
mso-style-priority:99;
mso-style-qformat:yes;
mso-style-parent:”";
mso-padding-alt:0in 5.4pt 0in 5.4pt;
mso-para-margin-top:0in;
mso-para-margin-right:0in;
mso-para-margin-bottom:10.0pt;
mso-para-margin-left:0in;
line-height:115%;
mso-pagination:widow-orphan;
font-size:11.0pt;
font-family:”Calibri”,”sans-serif”;
mso-ascii-font-family:Calibri;
mso-ascii-theme-font:minor-latin;
mso-hansi-font-family:Calibri;
mso-hansi-theme-font:minor-latin;
mso-bidi-font-family:”Times New Roman”;
mso-bidi-theme-font:minor-bidi;}
L’avenue de la Paix, l’unique voix d’accès qui mène à plusieurs quartiers des communes de Kisenso et Mont Ngafula est impraticable de bout en bout depuis des années. La population habitant ce coin de la capitale, se déplace grâce aux vieilles Jeep qui assurent le transport en commun.
Le point de la situation sur le terrain dans cet entretien que Jody Nkashama a eu avec Teka Zola, député provincial.
Fichier audio : téléchargez Flash pour écouter.