Le taux d’enrôlement des électeurs dans une vingtaine de centres
d’inscription des communes de Kamalondo et de la Kenya a sensiblement régressé depuis
quelques jours, a constaté radiookapi.net. A l’origine, une fausse rumeur qui fait croire
que les machines pour l’identification des électeurs permettent de déceler les personnes
porteuses du virus du sida. Cette situation a provoqué peur et hésitation auprès de la
population. Mais le coordonnateur provincial de la CEI-Katanga dément.
Albert
Kisimba calme les esprits : « La Commission Electorale Indépendante (CEI) ne fait pas du
médical ». Les gens qui disent que le scanner montre en même temps que la personne a le
sida sont de mauvaise volonté. Ils ne veulent pas que ce processus réussisse, affirme-t-il.
Et de préciser que le scanner ne touche pas au sang et ne prend que l’empreinte digitale sur
la peau du doigt.






