Le séminaire s’est clôturé samedi à la Foire internationale de Kinshasa. Initié par le gouvernement, il a été lancé lundi par le ministère des Petites et moyennes entreprises. Ce séminaire a débouché sur une trentaine de résolutions, constate radiookapi.net
Parmi ces ressuscitations, la collecte du maximum d’épargnes pour développer le pays, la promotion des micro crédits et des épargnes, à travers les structures agrées par la Banque centrale du Congo, l’interdiction et la sanction des maisons d’épargne semblables à celles connues sous les noms de Bindo, promotion et autres.
Alphonse Kisolokele, représentant des coopératives congolaises présentes à la séance de clôture de ce séminaire, explique le bien-fondé de l’épargne et de l’implication de la Banque centrale du Congo. « On s’est effectivement donné une mission aujourd’hui. Celle de collecter l’épargne pour pouvoir développer notre pays. Cette épargne, transformée en crédit, constitue un effort d’investissement. La banque centrale s’est retrouvée seule pendant longtemps dans ce secteur. Elle était obligée de faire, et le développement, et la régulation, et la supervision. Elle dit aujourd’hui dans quelle mesure elle va mettre en place des lois sévères mais souples, qui concourent au développement du secteur. Première recommandation, c’est de faire d’abord la promotion du secteur, de l’importance de l’épargne et du crédit, et la promotion des bonnes pratiques dans le secteur. »
