D’après l’ONG la promotion de la femme de Bambessa, cite située à environ 500 kilomètres au nord de Kisangani., plus de la moitié des victimes ont été rendues grosses par les auteurs de ces actes. Ceux-ci se recrutent parmi les commerçants ambulants et certains vieux nantis de la cité. La même source révèle qu’une dizaine de cas seulement ont été dénoncés à la police. Les parents préfèrent les arrangements à l’amiable en raison de la lenteur dans les procédures judiciaires et surtout des amendes transactionnelles imposées par la police, non seulement aux présumés coupables mais aussi aux plaignants, rapporte radiookapi.net