Léon Kengo Wa Dondo, président du Sénat
Dans le cadre de la collaboration, des sénateurs sollicitent que le gouvernement soumette, au préalable, à l’avis d’une commission parlementaire, toute convention internationale avant qu’il s’y engage. C’est en tout cas la thèse de Thomas Lokondo, initiateur de la motion sur cette question à la chambre haute, rapporte radiookapi.net
Selon ce sénateur, membre de l’AMP (Alliance de la majorité présidentielle) les parlementaires ont souvent des contributions importantes en rapport avec une convention internationale, mais lorsque celle-ci est déjà signée par le gouvernement, il leur est difficile d’apporter ces contributions. Ainsi, tout en préconisant le respect de la séparation des pouvoirs, Thomas Lokondo souhaite que le président du sénat soit leur porte-parole auprès du gouvernement en vue de l’application, en cette matière, des règles non écrites internationalement admises. Il est au micro de Marie-Chantal Lumba.
