Invité à la 10e édition du festival de jazz de Kinshasa (JazzKif), le chanteur et guitariste camerounais, Bilck Bassy, a plaidé mercredi 1er juin, pour l’abolition des visas dans les pays africains.
Lors de l’annonce de son tout premier roman sur l’immigration intitulé « Le Moabi cinéma », il estime que l’abolition des visas permettrait à tout citoyen de circuler facilement et surtout faciliter aux bantous d’être ensemble et unis.
« C’est un roman à travers lequel, je parle de mon expérience. Je suis installé en France depuis dix ans, j’ai connu beaucoup de problèmes. A force de voyager, je découvre des non-dits et des mensonges autour de cette problématique. Il n’est pas normal que ceux qui sont venus décider de nos frontières, nous impose un visa par exemple aujourd’hui », a-t-il expliqué à Radio Okapi.
Bilck Bassy s’entretient avec Jude Bilanda.
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