Le système électoral congolais des listes bloquées ne favorisent pas une bonne parité homme et femme dans le processus électoral. Les femmes doivent se battre pour occuper des postes de direction au sein des formations politiques pour réussir leur ancrage dans l’arène politique. Mais les femmes quant à elles, plaident pour leur cooptation au sein des institutions politiques notamment au parlement. C’est ce qui ressort des intervenants dans ce magazine. Droits et devoirs s’intéresse à la question du genre et l’engagement citoyen dans le processus électoral en Rdc.
En effet, au siècle où nous vivons, siècle où les idées d’égalité et de fraternité exercent un empire général, s’il est un dogme qui a du échapper à la négation, c’est le dogme qui ramène à l’unité tous les peuples dont se compose le genre humain donc l’homme et la femme dont le magazine évoque le rôle à travers le processus électoral congolais en cours.
Droits et devoirs veut s’imprégner de la prise en compte réelle de la gestion du genre sinon de la parité homme et femme dans le processus électoral, de l’engagement citoyen du genre, de ses droits et obligations. L’engagement de tout un chacun dans le processus veut pluraliste et démocratique pose les jalons d’une élection non discriminatoire.
Quels sont les droits et devoirs de ce genre dans ce processus ? Quel type d’engagement et de comportement doit-il adopter durant le processus électoral ? Quels avantages offre le système électoral congolais aux hommes et femmes ? Comment gérer les ambitions des uns et des autres en tenant compte de l’égalité de chance de tous au sein des formations politiques ?
C’est autour de ce questionnement que le magazine gravite avec comme intervenants André Bekambo, Coordonnateur du programme d’éducation civique et électorale de la Cenco et Annie Bambe, actrice de la société civile, défenseure des droits de l’homme. Ils s’entretiennent avec Jeef NGOY.
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