Des candidats aux élections présidentielle, législatives nationales et provinciales de la Rdc se disent attachés au respect du code de bonne conduite durant la campagne électorale. Ce code qu’ils ont contresignés avec la Commission électorale nationale indépendante (CENI) édicte des principes et règles à observer tout au long de la période de campagne en cours, afin d’éviter toute forme de violence verbale ou physique, en adoptant des attitudes favorables à l’éthique politique. L’objectif visé en édictant ce code de bonne conduite est de créer et maintenir un climat apaisé et paisible durant la campagne et aboutir aux élections crédibles dont le verdict ne sera pas l’occasion d’une quelconque violence.
Au moment du lancement de ladite campagne électorale, la Ceni a donné des directives aux candidats notamment le respect mutuel entre candidats, la défense de leurs programmes ou projets de société auprès des électeurs dans la loyauté, pas d’injure ni diffamation, pas non plus d’incitation à la haine tribale, etc.
Droit et Citoyenneté se penche sur l’observance de ce code de bonne conduite par les candidats. Est-ce que ces directives de la campagne sont bien appréhendées ? Quelle ligne de conduite doivent adopter les candidats ? Quel est le contenu de leurs messages auprès des électeurs dont ils sollicitent les suffrages ?
Pour commenter cette thématique, Droit et Citoyenneté reçoit principalement l’ancien rapporteur de la Commission électorale indépendante (CEI) en 2006, Dieudonné MIRIMO et l’actuel rapporteur de la Commission électorale nationale indépendante, Jean-Pierre KALAMBA. Tour à tour quelques candidats interviennent sur la méthodologie de leur campagne.
Ce magazine est réalisé par JEEF NGOY MULONDA.
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