Tout le mois de mars est dédié à la femme. A l’occasion du 8 mars de l’année en cours, le monde entier célèbre la 162ème journée internationale des droits des femmes. Parfois ses droits sont dilués dans le port du pagne, la danse ou la musique, bref l’ambiance. Les fondamentaux de ses revendications traditionnelles sont évoqués à chaque célébration et on s’en passe, en attendant le prochain mois de mars pour revenir sur les mêmes revendications. Aux cérémonies commémoratives de ladite journée, la première dame de la Rdc Denise Nyakeru Tshisekedi a recommandé aux femmes l'amour, la paix et la persévérance dans le combat pour leurs droits. Elle s'est engagée à oeuvrer à leurs cotés pour défendre leur cause auprès du premier citoyen du pays.
Evaluant la participation des femmes dans les institutions de prise des décisions, aux élections du 30 décembre 2018, la Ceni a enregistré 12 à 13 % de candidatures féminines. Mais les résultats n’ont donné que 11% de femmes élues. La participation des femmes dans les institutions délibérantes du pays, les assemblées provinciales, l’assemblée nationale et prochainement le Sénat demeure ainsi l’unité de mesure des droits et devoirs des femmes. Le compte à rebours a donc commencé sur l'application du taux de 30% de la parité homme et femme proné par la loi concernant les droits des femmes.
Quels sont ses droits ? Comment les revendiquent-elles et pourquoi ? Quelle évaluation font-elles de leur participation dans les institutions ?
‘’Droits des femmes et respect du genre dans les institutions délibérantes de la Rdc’’. C’est le thème que le magazine de promotion des droits et devoirs aborde, en marge de la célébration du mois de la femme.
Droit et Citoyenneté tente de répondre à cette problématique avec spécialement les femmes.
Ce magazine est réalisé par JEEF NGOY MULONDA.
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