Kananga : les anciens agents de la DGRKAC réclament leur salaire et réintégration au service


Les anciens agents et cadres de la direction générale des recettes du Kasaï-Central (DGRKAC) révoqués depuis 2019 réclament leurs arriérés de salaire de 21 mois et leur réintégration au service. Dans une lettre adressée mardi 14 juillet au président de l’Assemblée provinciale, ils disent avoir été chassés arbitrairement par le gouvernement provincial, alors qu’ils se considèrent comme agents de carrière suivant les textes créant la régie provinciale de recettes.

Indiquant que cette question a fait partie de griefs pour lesquels le gouvernement Kabuya a été déchu, Jodel Nkashama , l'un d’eux a appelé l’organe délibérant de la province à s’impliquer pour que leur problème soit résolu.

A l'Assemblée provinciale, le président intérimaire, Matthieu Ntolo, a declaré que le dossier sera examiné pour savoir ce qui s’est réellement passé. Mais il sera soumis au moment opportun à un gouvernement responsable, parce que celui qui est en place est démissionnaire, explique Matthieu Ntolo.

Les anciens agents et cadres de la direction générale des recettes du Kasaï-Central (DGRKAC) révoqués depuis 2019 réclament leurs arriérés de salaire de 21 mois et leur réintégration au service. Dans une lettre adressée mardi 14 juillet au président de l’Assemblée provinciale, ils disent avoir été chassés arbitrairement par le gouvernement provincial, alors qu’ils se considèrent comme agents de carrière suivant les textes créant la régie provinciale de recettes.

Indiquant que cette question a fait partie de griefs pour lesquels le gouvernement Kabuya a été déchu, Jodel Nkashama , l'un d’eux a appelé l’organe délibérant de la province à s’impliquer pour que leur problème soit résolu.

A l'Assemblée provinciale, le président intérimaire, Matthieu Ntolo, a declaré que le dossier sera examiné pour savoir ce qui s’est réellement passé. Mais il sera soumis au moment opportun à un gouvernement responsable, parce que celui qui est en place est démissionnaire, explique Matthieu Ntolo.
 

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