Le syndicat des inspecteurs de l’enseignement du Congo a regretté, mercredi 11 mai, que des écoles viables de la province éducationnelle Kwilu II n’aient pas été mécanisées.
Le président de cette structure, Rodolphe Maboko, dit ne pas comprendre l'oublie de ces cet oublie aussi longtemps que ces écoles oubliées sont pourtant matriculées.
« Nous exprimons notre regret par rapport à la mécanisation qui vient de se faire. Le gouvernement devait penser aux écoles dont les enseignants ont des numéros matricules pour leur donner les salaires au lieu d’aller ramasser des écoles çà et là. Au moment où de vielles écoles ayant des structures bien reconnues, une bonne partie d’enseignants est payée et une autre partie non. Le gouvernement n’a pas tenu compte de tout cela », a-t-il fustigé.
Rodolphe Maboko a constaté qu’avec la mécanisation effectuée, le gouvernement n’a pas respecté le poids numérique, à Kwilu II.
« La province éducationnelle Kwilu 2, nous sommes, je crois parmi les trois premières provinces de la République ayant le nombre d’élèves et d’écoles le plus élevé. Mais à voir la mécanisation, ce poids numérique n’a pas été respecté », a ajouté le président du Syndicat des inspecteurs de l’enseignement.
