Informaticien programmeur, Seth Tshiamala vit à Cape Town en Afrique du Sud depuis six ans. Selon ce jeune Congolais, la main d’œuvre étrangère contribue beaucoup au développement de l’économie de ce pays. Il affirme que les anglophones sont plus ouverts que les francophones et favorisent l’émergence des employés dans les entreprises.
Seth Tshiamala souligne l’apport des expatriés à l’émergence de l’économie sud-africaine:
«Seulement, 15 % des Sud-Africains qui réussissent leur examen d’Etat passent à l’université. Et seulement 5 % d’entre eux parviennent à terminer leurs études. Ce sont les étrangers qui comblent l’écart-là, et cela dans tous les domaines de la vie nationale.»
Il s’entretient avec Nana Bolodjua:
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