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Il y a trois mois depuis que l’UNFPA vole au secours des femmes victimes de viols pendant la période de guerre dans le territoire de Dekese. Ce premier programme concernait 280 femmes dont certaines avec des cas de fistules vaginales. Mais à son exécution, le programme a été débordé, vu les nombre des cas qui était jusque là non identifiés. Pour aller au bout l’UNFPA vient de solliciter et obtenir une prolongation du projet pour 6mois de plus. Cette deuxième tranche déjà en cours se bute aux difficultés de mobilités tant du personnel que des intrants.Nicole Ngaka et Jr Lungembo recoivent Dr Samuel TOPANGO : Expert de l’UNFPA.
