Quelques formations d’opposition dont le MLC, l’UNC demandent la prolongation des opérations de révision du fichier électoral dans la capitale. Dans une lettre adressée au président de la Commission électorale nationale indépendante, ces partis sollicitent un délai de 90 jours, au lieu de 60 initialement fixé par la Ceni.
Ils évoquent de nombreux problèmes logistiques liés à la vétusté des kits, aux fréquentes pannes de matériels dans plusieurs centres d’inscription