Des chefs d’Etat africains ne parviennent pas à gouverner sans s’entourer des conseils plus ou moins avisés d’experts en sciences occultes. Petit florilège.
En Afrique, ils sont légion les chefs d’Etat qui ont été ou qui sont encore sous l’emprise de gourous de tout acabit.
Lesquels personnages influencent bien souvent de façon négative dans la gestion des affaires de l’Etat, en tirant par contre le meilleur profit. Au détriment de l’amélioration des conditions de vie des peuples à laquelle les deniers publics sont sensés être utilisés.
Si cette propension tient au fond à la conception traditionnelle du pouvoir en Afrique, il n’en demeure pas moins vrai qu’elle a la vie dure. Autrefois, en effet, tout chef traditionnel ou roi avait son gourou.
Qu’il soit chef spirituel, marabout ou sorcier, c’est selon. Homme dont l’influence ou le pouvoir dépasse même celui du vrai détenteur qui en est investi, il figure dans le premier carré des conseillers de la cour.
Et pour cause, il est crédité de pouvoirs protecteurs face à tout danger et d’une grande sagesse. Des atouts dont il devrait faire profiter le chef et lui permettre de bien gérer son mandat pour le bonheur du peuple. Mais cela n’a pas souvent été le cas. Lire la suite sur slateafrique.com








