Les corps de certaines victimes de ces attaques sont déjà à la morgue de l’hôpital général de Beni. Une vive tension est perceptible, la population en colère empêche l'accès au personnel médical.
Selon la société civile locale, le bilan pourrait s’alourdir dans les heures qui viennent. Car,la population locale et l’armée poursuivent les opérations de fouille.