RDC : des édifices publics, œuvres sculpturales et musicales inscrits dans le registre de l’intemporalité

 La ministre de la Culture, Catherine Kathungu Furaha,  a inscrit  dans le registre de l’intemporalité de son ministère quelques édifices, sculptures, œuvres musicales, graphiques et dramatiques jeudi 30 mars, à l’occasion de la célébration, à Kinshasa, de la Journée culturelle de l’intemporalité en RDC. 

  Instaurée il y a une année, cette journée entre dans le cadre de la célébration de la rumba congolaise. Elle coïncide avec la commémoration de l’anniversaire de la mort du poète Lutumba Simaro, mort il y a 5 ans. 

« La célébration de la mémoire du poète Lutumba Simaro, s’offre comme une opportunité pour inscrire d’autres œuvres dans le registre de l’intemporalité du ministère de la Culture et Arts et Patrimoine. Dans l’architecture, nous choisissons l’immeuble Forescom, le tout premier immeuble de la ville de Kinshasa et de toute l’Afrique noire, construit entre 1923 et 1945 », a déclaré la ministre Kathungu Furaha .Dans la sculpture, la RDC honore « la pensée du Me Alfrd Liyolo, en 1976, le président sénégalais disait être l’authenticité de la négritude… » 

Dans la musique, le ministre annonce « le titre Masuwa de poète Lutumba Simaro, Indépendance Tsa Tsa, notre premier hymne national de Grand Kale, Marie Louise de Wendo Kolosoy… »   

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