Josué Aruna, environnementaliste et coordonnateur du bureau de la société civile environnementale au Sud-Kivu RUNA, a soutenu lundi 12 mai que " les catastrophes pouvaient être évitées si les entités territoriales décentralisées et les gouvernements provinciaux mettaient en place une politique de locale de restauration des paysages dégradés".
Il a déploré notamment l’abattage des arbres sans songer à pouvoir en planter d’autres sur les sites déboisés.
S'agissant précisément de la situation des territoires de Kalehe, Fizi et Mwenga, où les éboulements et les glissements des terrains ont déjà fait plus de mille victimes et d’énormes pertes matérielles, Josué Aruna explique:
/sites/default/files/2025-05/_130525-p-f-bukavu_josue_aruna-00_web.mp3