Equateur : 54 groupements interdits de fonctionner

Cinquante-quatre groupements de l’Equateur ont été supprimés faute d’existence juridique. La plupart avaient été créés par scission pour des intérêts politiciens ou électoralistes. Seuls 812 initialement reconnus par les autorités politico-administratives vont demeurer et servir à la tenue de prochaines élections urbaines, municipales et locales dans la province. C’est ce qui ressort des travaux d’identification et certification qui ont pris fin samedi 31 janvier, a indiqué le directeur de cabinet Adjoint du Ministre de l’Intérieur, Prosper Tshitenge.

Plusieurs participants se sont félicités de ces travaux pour résoudre les conflits fonciers dans la province. Cependant, ils souhaitent la tenue d’un autre atelier afin de juguler aussi plusieurs conflits de succession qui continuent à ensanglanter l’Equateur