Certains parents de la localité de Banalia au nord de Kisangani envoient des filles mineures se faire violer pour ensuite exiger de l’argent aux coupables.
Cette pratique a été dénoncée lors d’une sensibilisation sur la lutte contre les violences sexuelles organisée par la Monusco/Kisangani en collaboration avec le parquet de grande instance de Kisangani et l’ONG « SOS pour enfant et population ».
Comment mettre fin à cette pratique ?
Emmanuel Djondjo, coordonnateur de l’ONG « SOS pour enfant et population », répond aux questions de Jody Nkashama.
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