Ce bilan a été fait ce mardi à Bunia à l’issue d’un atelier de validation des données fournies par une vingtaine des superviseurs et médecins chefs de zone de santé sur la prise en charge de ces maladies les trois derniers mois, note radiookapi.net
Selon le médecin coordonnateur du programme national lèpre et tuberculose en Ituri, cette situation est due à la distance qui sépare les malades et les structures médicales, dans certains villages. La même source indique que des nouvelles stratégies sont entrain d’être étudiées pour rendre les médicaments proches des malades dans les trois prochains mois.








