Répondant aux questions des députés, la ministre du portefeuille a précisé que la privatisation n’est que la dernière étape du désengagement de l’Etat. Jeannine Mabunda a aussi souligné que le projet de lois tient compte des intérêts sociaux et de la protection du personnel, rapporte radiookapi.net
Pour la ministre du portefeuille, ces projets de lois représentent un espoir pour l’amélioration des conditions de vie des Congolais.
C’est également l’avis de l’honorable Tshongo Tshibikubula wa Ntumba du PPRD et ancien PDG de la Regideso. Pour lui, la reforme va améliorer la vie des Congolais si elle est suivie par le contrôle parlementaire. « Nous devons tout faire pour que le processus des reformes puissent aboutir dans notre pays, parce que c’est une conditions sine qua non pour pouvoir avancer, et pour pouvoir mobiliser des ressources financières plus importantes, dont nous avons besoin pour la réalisation du programme du gouvernement. Le gendarme, aujourd’hui, c’est l’Assemblée nationale. Quel est ce ministre, qui est ce responsable dans ce pays, aujourd’hui, avec d’un coté, l’Assemblée nationale, et le sénat de l’autre, qui va oser faire n’importe quelle bêtise. C’est impossible. . »
