Boulevard 30 juin
L’atelier sur la restructuration de l’office national de l’emploi, Onem, s’est clôturé vendredi dans la capitale. Cette rencontre portait entre autres sur la réforme des textes portant fonctionnement de l’Onem et renforcement des capacités institutionnelles de cet office chargé de donner de l’emploi aux chômeurs, produire les statistiques de l’emploi et accompagner ceux qui veulent créer leur entreprise, rapporte radiookapi.net
Philippe Razik, formateur et représentant de l’Office de formation professionnelle de la région Wallonne en Belgique, fait l’économie de la première phase des travaux en ces termes : « On a vraiment réussi à terminer toute une série d’actions concrètes à réaliser. Nous avons dû faire une distinction entre les actions qui peuvent être exécutées par l’Onem, au regard des moyens actuels et puis toutes les actions qui dépendent des interventions externes, donc toutes les actions qui nécessitent une intervention extérieure notamment de financement, nous les avons écartées actuellement. En attendant que ce financement puisse arriver, le travail qui a été réalisé c’était d’adopter un organigramme qui réponde à une série de conditions. La première, c’est la taille du pays, des gens qui sont à Kinshasa ne vivent pas les mêmes réalités que ceux qui sont dans les provinces. Et même entre provinces, il y a des différences fortes. Il faut réussir à déléguer au niveau provincial la responsabilité de la mise en œuvre des politiques définies par le comité de gestion de l’Onem»
