La redevabilité des partis politiques à l’égard de leurs militants, leurs mandants. Droits et devoirs planche aujourd’hui sur cette thématique. Il s’agit d’analyser l’obligation qu’ont les partis envers leurs membres du sommet à la base et vice-versa.
Nous inaugurons une série d’émissions sur cette thématique avec l’Union pour la démocratie et le progrès social, Udps.
Ils sont plus de 600 partis enrôlés au ministère de l’Intérieur. Nous ne saurons pas parler de tous. Nous avons opté pour les partis les plus représentatifs de l’opposition et de la Majorité présidentielle.
Selon une publication ISO 26000 de novembre 2010, la redevabilité est la responsabilité d’une organisation vis-à-vis des impacts de ses décisions et de ses activités sur les autres sociétaires et son environnement. C’est le fait d’avoir l’obligation de quelque chose envers quelqu’un ou quelque chose. Etre, se savoir redevable de quelque chose à quelqu’un ou à quelque chose.
Cette redevabilité répond à quelques principes notamment la transparence des décisions prises et des activités, le comportement éthique, la reconnaissance des parties prenantes, le respect de légalité, le respect des droits de l’homme, etc.
-Que fait l’UDPS à ce sujet ?
-Comment ce parti rend compte de ces principes ?
-Est-ce que ses cadres et ses militants s’acquittent de leurs devoirs vis-à-vis du parti ?
-Quelle est la santé du parti ?
-Comment se comporte-t-il face à l’actualité politique du pays ?
Droits et devoirs aborde cette problématique avec le leader et secrétaire général adjoint de l’UDPS, Felix Tshisekedi. Ce magazine est produit par Jeef Ngoy Mulonda.
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