Pour avoir un processus électoral crédible en 2023 plusieurs voix s’élèvent sollicitant la réforme de la commission électorale nationale indépendante CENI tant dans son fond que dans sa forme.
Pour y arriver Paul Nsapu, défenseur des droits de l’homme et expert des questions électorales propose entre autres 4 critères pour le profil idéal du futur président de la CENI notamment : la connaissance avérée dans le domaine électoral, la grande capacité managériale, la notoriété et crédibilité nationales et internationales, la capacité à résister contre la corruption.
Que pensez-vous de ce profil et quelles devraient être pour vous les priorités dans la réforme du processus électoral ?
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