age=770,320,y,center,]Le Réseau national des ONG des droits de l’homme de la République démocratique du Congo (Renadhoc) a dénoncé la persistance de l’insécurité, de l’intolérance politique et des tensions préélectorales enregistrées dans la province du Katanga. Le secrétaire de cette structure, Fernandez Murhola, l’a déclaré, dimanche 3 juillet, à Lubumbashi.
Fernandez Murhola a évoqué, ente autre, des actes de vandalisme entre les partisans de différents hommes politiques ainsi que des discours qualifiés de haineux tenus par certains politiciens.
«Nous regrettons le comportement quasi-habituel de l’honorable Kyungu. Nous avons regretté les actes de vandalisme au lendemain de l’interview de Jean-Claude Muyambo», a-t-il affirmé.
Il a ajouté que la critique fait partie de la démocratie:
«Je ne vois pas pourquoi il doit y avoir des réactions violentes lorsqu’on critique la gouvernance d’une province.»
Radio Okapi n’a pu recueillir aucune réaction du côté du gouvernement provincial.
Dans un communiqué de presse parvenu à Radio Okapi, vendredi 17 juin, l’Association africaine de défense des Droit de l’homme (Asadho) avait accusé certains leaders des partis politiques du Katanga d’utiliser la jeunesse katangaise sous forme de milices pour commettre des actes de violences contre leurs adversaires politiques.








