 Quelques passagers ce 29/06/2011 à l’aéroport international de Ndjili à Kinshasa pour embarquement vers Lubumbashi à bord d’un Airbus A320 de la CAA. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo
 Quelques passagers ce 29/06/2011 à l’aéroport international de Ndjili à Kinshasa pour embarquement vers Lubumbashi à bord d'un Airbus A320 de la CAA. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo |
Chaque 18 décembre le monde célèbre la journée internationale des migrants. Lorsque leurs droits sont violés, lorsqu’ils sont marginalisés et exclus, les migrants ne peuvent rien apporter, ni financièrement ni socialement, à la société qu’ils ont quittée ni à celle qu’ils rejoignent.
Dans son message à l’occasion de cette journée, le secrétaire général des nations indique seuls 45 pays ont ratifié la convention internationale sur la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille.
Le secrétaire général de l’ONU invite tous les autres à souscrire à ce grand texte pour s’engager concrètement à protéger et promouvoir les droits de l’homme de tous les migrants sur leur territoire.
Plusieurs congolais prennent chaque jour le chemin de l’étranger pour plusieurs raisons et certains y vivent dans la clandestinité.
- Que proposez-vous pour encadrer le flux migratoire des congolais vers l’étranger ?
Invité: Emery Egide Kianga, chargé des opérations au bureau de l’organisation internationale des migrations en RDC.
Fichier audio : téléchargez Flash pour écouter.
Présentation: Pierrot Elameji
Lundi 19 décembre, Paroles aux auditeurs revient sur la clôture de la session de septembre au parlement et la dernière de cette législature à l’Assemblée nationale
- Comment jugez-vous le travail abattu à l’Assemblée nationale durant ces cinq dernières années ?
