Ces
militaires sont jugés pour avoir séquestré et déshabillé la bourgmestre de la commune de la
Tshopo en mars dernier, rappelle radiookapi.net
Le décor est déjà planté pour le début de
ce procès. Trois de ces cinq prévenus, tous éléments du Groupe spécial de la Sécurité
présidentielle (GSSP), sont dans la salle d’audience. Les deux autres ont disparu de la
circulation depuis l’interpellation de leurs camarades par l’auditorat militaire. Ils
devront être jugés par contumace.
Tous les prévenus sont poursuivis pour trois chefs
d’accusation : outrage envers un supérieur, arrestation arbitraire ainsi que violence envers
un dépositaire de l’autorité.
Toutes ces infractions auraient été commises le 26 mars
dernier contre la bourgmestre de la commune de la Tshopo.