Dans un mémo adressé au président du tribunal, ces ONGs s’étonnent que le président du tribunal clôture l’étape de l’instruction, estimant que les éléments sont insuffisants, rapporte radiookapi.net
« Nous avons insisté pour que l’instruction soit prolongée pour donner l’occasion à toutes les parties, civile, défenderesse et même le ministère public, d’avoir tous les éléments qui aideraient à mener à bon escient ce procès », a déclaré Murhabazi Namegabe, délégué de ces ONG des droits de l’homme. Pour y arriver, M. Murhabazi, ces ONGs demandent au gouvernement congolais assez de compétences humaines et de moyens financiers et matériels pour mener des expertises et investigations sur le terrain.
A ce stade, poursuit-il, il ne faut pas aller vite en besogne au risque d’avoir un verdict où la vérité ne jaillirait pas. Par conséquent, les 14 ONGs attendent des éléments sérieux en vue d’une issue heureuse et juste de ce procès.