Les forêts de la RDC connaissent une pression de la part des hommes et contribuent au déséquilibre climatique sur le plan mondial, selon les experts.
Pour maintenir l’équilibre, plusieurs structures œuvrant dans le secteur de l’environnement préconisent la conservation de la nature.
C’est le cas de Maï Ndombe REDD+ qui est le premier projet dans le bassin du Congo, à avoir la validation pour la commercialisation du crédit carbone estimé à ce jour à 2 500 000 tonnes.
«Nous n’exploitons pas le bois, au contraire nous travaillons avec les communautés sur la forêt et la biodiversité. En échange, nous sommes dans le marché carbone. Nous aidons les communautés à pouvoir intensifier l’agriculture pour éviter qu’ils puissent utiliser l’agriculture extensive qui détruit la forêt», a indiqué à Radio Okapi Jean Robert Bwangoy, administrateur gérant de ce projet.
Plusieurs études démontrent que le bassin du Congo regorge la 2è grande forêt du monde après l’Amazonie. Elle produit suffisamment de l’oxygène pour d’autres pays et absorbe le CO2 dégagé par les pollueurs.