L'atelier sur la clarification des limites de la ville de Beni et le territoire portant le même nom s’est clôturé dans la soirée de mercredi 2 décembre. C’était une occasion pour le ministre provincial de l’Intérieur, la sécurité et affaires coutumières, Jean-Bosco Sebishimbo, de féliciter tous les participants ainsi que les organisateurs notamment sur l’esprit de recherche de la paix entre les entités et les administrés qui a caractérisé cet atelier.
« Lorsqu’on règle la question des limites entre les entités, il n’est pas question de séparer nos populations. Mais seulement, il s’agit de régler les aspects administratifs. Mais également, lorsqu’on règle cette question, lorsqu’on voit la cité se gérer sous une autre manière moderne, il y a l’implication des avantages qui suivent. Et donc, il ne faut pas être jaloux pour dire : écoutez, nous cédons notre terre pour qu’elle soit autrement gérée », a indiqué le ministre provincial de l’intérieur, la sécurité et affaires coutumières, Jean-Bosco Sebishimbo.
Le ministre provincial a également donné quelques avantages de la clarification des limites entre ces entités, jadis en conflits administratifs :
« Au regard de la démographie galopante chaque jour, ça veut dire, il y a beaucoup d’agglomérations qui vont exiger qu’elles soient gérées de manière moderne. Il faudra permettre ça, parce qu’effectivement ça va répondre aussi à certains impératifs du bien-être commun. »
