Selon une étude de l’Institut National de Statistiques (INS), 62,5 % des ménages du Haut-Katanga vivent en insécurité alimentaire globale, soit environ 6,8 millions de personnes dans l’ex-Katanga. Parmi elles : 14,2 % sont en insécurité alimentaire sévère ; 41,3 % en insécurité alimentaire modérée et 44 % vivent dans une situation limite, vulnérables au moindre choc. Le déficit entraîne une dépendance aux importations et une flambée des prix chaque année. Pour améliorer la sécurité alimentaire dans la région, l’ONGI Better Life travaille, dans la promotion de la culture pérenne dans le Haut-Katanga en collaboration avec ses partenaires. Autre constat : la présence des enfants dans les mines du Haut-Katanga reste une problématique préoccupante, selon nos investigations.
Quels sont les grands projets que réalisent l’ONGI Better Life dans le Haut-Katanga ?
Des plus amples détails dans ce numéro d’Echo de développement que vous présente Taty DILENGENDJU Mapuku.
